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TRITAZIDE



Tritazide®

Ramipril + Hydrochlorothiazide.

IDENTIFICATION DU MEDICAMENT

FORMES ET PRÉSENTATIONS

TRITAZIDE 10/12,5 :

Comprimé orange, oblong, sécable
TRITAZIDE 10/25 :

Comprimé rose, oblong, sécable
Boîtes de 28 comprimés sous forme de plaquettes alvéolée en PVC/Alu.

COMPOSITION
Ingrédients actifs :

- TRITAZIDE 10/12,5 :
10 mg de ramipril et 12,5 mg d'hydrochlorothiazide
- TRITAZIDE 10/25 :
10 mg de ramipril et 25 mg d'hydrochlorothiazide.
Excipients : 

- TRITAZIDE 10/12,5 :
Hydroxypropyiméthylcellulose, cellulose microcristalline, amidon de maïs prégélatinisé, oxyde de fer rouge, oxyde de fer jaune et stéarylfumarate de sodium,
- TRITAZIDE 10/25 :
Hydroxypropyiméthylcellulose, cellulose microcristalline, amidon de maïs prégélatinisé, oxyde de fer rouge et stéarylfumarate de sodium.

CLASSE PHAMACOTHERAPEUTIQUE
Association d'un IEC + diurétique thiazidique.

INDICATIONS

Traitement de l'hypertension essentielle quand un traitement d'association est approprié.

POSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION

POSOLOGIE

La posologie doit être individualisée.
TRITAZIDE n'est pas recommandé pour le traitement initial.
Posologie recommandée et ajustement posologique
Le médecin jugera de l'ajustement posologique requis en fonction de la gravité de l'hypertension et des autres facteurs de risque associés.
Dose quotidienne maximale : 10 mg de ramipril et 50 mg d'hydrochlorothiazide.

Insuffisance rénale : Clairance de la créatinine entre 30 et 60 ml/min/1,73m2 de surface corporelle : la dose quotidienne maximale recommandée est de 5 mg de ramipril et de 25 mg d'hydrochlorothiazide. Si le patient a oublié de prendre une dose, il doit la prendre aussitôt que possible. Toutefois, s'il est presque l'heure de prendre la prochaine dose, il ne doit pas prendre la dose oubliée et simplement attendre l'heure prévue pour la prochaine dose. Il ne faut jamais prendre 2 doses à la fois.

MODE D'ADMINISTRATION

Les comprimés doivent être avalés avec une quantité suffisante de liquide.
Les comprimés ne doivent être ni croqués ni écrasés.

En général, on recommande de prendre la dose quotidienne en une seule prise le matin.
La prise de nourriture ne devrait pas avoir d'effet sur TRITAZIDE.

CONTRE-INDICATIONS

- Hypersensibilité à ce médicament, à l'un de ses ingrédients ou à tout autre inhibiteur de l'enzyme de conversion de l'angiotensine.

- Antécédents d'oedème de Quincke

- Femmes enceintes ou qui allaitent.

- Anurie ou hypersensibilité aux autres médicaments dérivés du sulfamide.

MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI

• Généralités
- oedème de Quincke : On a signalé de l'oedème de Quincke chez des patients prenant des inhibiteurs de l'ECA, y compris le ramipril. L'oedème de Quincke, lorsqu'il est associé à une atteinte laryngée, peut être fatal, l'oedème de Quincke risque de se produire en particulier après la prise de la première dose. Un oedème de Quincke touchant les voies intestinales a été signalé chez certains patients qui recevaient des inhibiteurs de l'ECA. Chez les patients ayant des antécédents d'oedème de Quincke non relié à un traitement par un inhibiteur de l'ECA, le risque d'oedème de Quincke est plus élevé.

- Toux : On a signalé une toux sèche et persistante qui ne disparaît habituellement qu'après l'interruption du traitement de TRITAZIDE. Cet effet est probablement imputable au ramipril.
• Appareil cardiovasculaire
- Sténose aortique
Sur le plan théorique, l'administration de vasodilatateurs augmente le risque de diminution de l'irrigation coronarienne chez les patients présentant une sténose aortique parce que ces produits n'entraînent pas une baisse aussi importante de la postcharge.

- Hypotension
On a signalé des cas d'hypotension symptomatique après l'administration du ramipril. Cette hypotension est plus probable en cas de : 
- déficit hydrique.
- cardiopathie ischémique ou maladie vasculaire cérébrale, une chute excessive de la tension artérielle pourrait entraîner un infarctus du myocarde ou un accident vasculaire cérébral.
- insuffisance cardiaque grave, associée ou non à une insuffisance rénale.
Une réaction hypotensive passagère ne constitue pas nécessairement une contre-indication à l'administration ultérieure du médicament. On doit toutefois considérer une diminution des doses de TRITAZIDE. Si cette situation se présente chez les patients recevant le traitement à la suite d'un infarctus aigu du myocarde, il faut envisager l'interruption du traitement par TRITAZIDE. TRITAZIDE peut diminuer la vigilance du patient et sa vitesse de réaction, surtout en début de traitement.
• Système sanguin
- Neutropénie et agranulocytose: Les inhibiteurs de l'ECA ont provoqué des cas d'agranulocytose et de dépression de la moelle osseuse.
Une surveillance périodique de la numération leucocytaire doit être envisagée, surtout chez les patients atteints de connectivité vasculaire et/ou de troubles rénaux.
• Fonction hépatique/biliaire
Des cas d'hépatite et d'élévation des concentrations d'enzymes hépatiques ou de bilirubine sérique sont survenus pendant un traitement par des inhibiteurs de l'ECA chez des patients présentant ou non des anomalies de la fonction hépatique avant le traitement. Dans la plupart des cas, ces anomalies ont rétrocédé lors de l'arrêt de l'administration du médicament. Les patients qui présentent un ictère ou une élévation marquée de leur concentration d'enzymes hépatiques doivent cesser l'utilisation du médicament et faire l'objet d'un suivi médical approprié. Les diurétiques thiazidiques doivent être administrés avec prudence aux patients souffrant d'insuffisance hépatique ou de maladie hépatique.
• Système immunitaire
- Réactions anaphylactoïdes aux inhibiteurs de l'ECA
On a signalé des réactions anaphylactoïdes chez des patients dialyses au moyen de membranes à haute perméabilité et traités concurremment par un inhibiteur de l'ECA. Il faut arrêter la dialyse sans délai en présence de symptômes tels que les nausées, les crampes abdominales, les sensations de brûlure, l'oedème de Quincke, l'essoufflement et l'hypotension grave.
Ces symptômes ne sont pas soulagés par les antihistaminiques. Dans de rares cas, des patients recevant des inhibiteurs de l'ECA ont éprouvé des réactions anaphylactoïdes potentiellement mortelles lors de l'aphérèse des lipoprotéines de basse densité (LDL) avec du sulfate de dextran. Chez des patients recevant des inhibiteurs de l'ECA, pendant un traitement de désensibilisation par injection de venin d'hyménoptères (abeilles, guêpes, etc.), on a signaié des cas isolés de réaction anaphylactoïde prolongée, mettant en danger la vie de ces
patients.
- Hypersensibilité aux diurétiques thiazidiques
Des réactions d'hypersensibilité à l'hydrochlorothiazide peuvent survenir chez les patients ayant ou non des antécédents d'allergies ou d'asthme bronchique. Une exacerbation ou un déclenchement d'un lupus érythémateux disséminé ont également été rapportés chez des patients traités par l'hydrochlorothiazide.
- Métabolisme
Les diurétiques thiazidiques, y compris l'HCT, peuvent causer
- des déséquilibres hydro-électrolytiques (hypokaliémie, hyponatrémie et alcalose hypochlorémique).
- une hyperuricémie ou déclencher une crise de goutte.
- une réduction du taux d'iode lié aux protéines sériques sans manifestations de troubles thyroïdiens.
- une augmentation de l'excrétion urinaire de magnésium, ce qui peut entraîner une
hypomagnésémie.
- une baisse de l'excrétion urinaire du calcium. Ils peuvent entraîner une élévation légère et intermittente de la calcémie en l'absence de toute anomalie avérée du métabolisme du calcium. Une hypercalcémie marquée peut être la manifestation d'une hypoparathyroïdie jusqu'alors inapparente. Il faut cesser l'administration du diurétique thiazidique avant d'effectuer des épreuves de la fonction parathyroïdienne.
- une hausse de la cholestérolémie, de la triglycéridémie et de ia glycémie. Il peut être nécessaire d'ajuster les doses d'insuline ou des antidiabétiques oraux. Un diabète sucré peut se déclarer au cours d'un traitement par des diurétiques thiazidiques.
L'emploi des inhibiteurs de l'ECA peut accentuer l'effet hypoglycémiant des antidiabétiques oraux ou de l'insuline chez des patients diabétiques. On doit avertir les patients de ne prendre aucun substitut de sel renfermant du potassium sans avoir consulté préalablement leur médecin.
• Considérations périopératoires
- Utilisation en chirurgie et en anesthésie
Chez les sujets qui subissent une intervention chirurgicale importante ou pendant l'anesthésie au moyen d'agents qui entraînent une hypotension, TRITAZIDE peut bloquer la formation d'angiotensine II secondaire à la libération compensatrice de rénine. Si une hypotension imputée à ce mécanisme est présente, on peut la corriger par expansion volumique. Les dérivés thiazidiques peuvent augmenter la réponse à la tubocurarine.

- Fonction rénale 
Chez les patients dont la fonction rénale peut être dépendante de l'activité du système rénine-angiotensine aldostérone, comme ceux présentant une sténose vasculaire rénale bilatérale, une sténose vasculaire rénale unilatérale alors qu'un seul rein est présent, ou encore une insuffisance cardiaque grave, le traitement par des agents qui inhibent ce système a été associé à de l'oligurie, à une hyperazotémie progressive et, rarement, à une insuffisance rénale aiguë et à la mort. Chez les patients prédisposés, l'utilisation concomitante d'un diurétique peut faire augmenter le risque davantage. Une évaluation appropriée de la fonction rénale devrait accompagner l'utilisation de TRITAZIDE.

TRITAZIDE doit être utilisé avec prudence chez les patients souffrant d'insuffisance rénale. Durant un traitement en présence d'insuffisance rénale, il faut exercer une surveillance étroite de la fonction rénale. Les diurétiques thiazidiques peuvent ne pas convenir aux patients dont la fonction rénale est altérée et sont inefficaces lorsque la clairance de la créatinine est égale ou inférieure à 30 mL/min. L'HCT peut déclencher ou aggraver une hyperazotémie. Chez les patients souffrant d'insuffisance rénale, ce médicament peut produire un effet cumulatif.
• Populations particulières

- Enfants
L'utilisation de TRITAZIDE n'est pas recommandée.
- Personnes âgées
Les personnes âgées peuvent présenter une plus grande sensibilité (> 65 ans).
• Surveillance et épreuves de laboratoire
Une surveillance périodique de la numération leucocytaire doit être envisagée en vue de déceler la présence éventuelle d'une leucopénie attribuable au ramipril. Une surveillance appropriée des électrolytes et de la glycémie est requise. Une évaluation appropriée de la fonction rénale devrait accompagner l'emploi du TRITAZIDE.
Durant un traitement en présence d'insuffisance rénale, il faut exercer une surveillance
étroite de la fonction rénale. 

INTERACTIONS

 Essais cliniques
- Traitement diurétique concomitant : Effets hypotensifs
- Agents augmentant la concentration de potassium sérique : Élévation du potassium sérique
- Lithium : Augmentation de la concentration sérique de lithium et symptômes d'intoxication au lithium.
- Antiacides : Pas d'effet
- Digoxine : Pas de changement des concentrations sériques de ramipril, du ramiprilate, et de la digoxine avec l'emploi du ramipril. 
La perturbation électrolytique causée par les diurétiques thiazidiques principalement hypokaliémie et hypomagnésémie) majore le risque d'intoxication à la digoxine.
- Warfarine : Pas d'altération de l'effet anticoagulant avec l'emploi du ramipril.
- Acénocoumarol : Pas d'effet significatif sur la tension artérielle, la vitesse de coagulation et des facteurs de coagulation avec l'emploi du ramipril.
- Agents anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) : Risque accru d'altération de la fonction rénale et augmentation du taux de potassium sérique. Atténuation possible des effets diurétiques, natriurétiques et antihypertensifs.
- Antidiabétiques : Réactions hypoglycémiques avec les inhibiteurs de l'ECA. Réactions hyperglycémiques avec les diurétiques thiazidiques.
• Théorique
- Agents provoquant la libération de rénine : Intensification des effets antihypertensifs
- Myorelaxants (de type curarisant) : Risque d'augmentation des effets des myorelaxants non dépolarisants par les diurétiques thiazidiques.
- Sympatho-mimétiques : Réduction de l'effet antihypertensif
- Alcool, barbituriques, narcotiques : Hypotension orthostatique
- Corticostéroïdes : Risque d'hypokaliémie.
La rétention hydrosodée induite par les Corticostéroïdes peut s'opposer à la réponse antihypertensive aux diurétiques thiazidiques.
Effets sur les résultats des épreuves de laboratoire Exploration de la fonction parathyroïdienne L'hydrochlorothiazide favorise la réabsorption du calcium rénal et peut causer une hypercalcémie.

GROSSESSE et ALLAITEMENT

Grossesse

Administrés à des femmes enceintes, les inhibiteurs de l'ECA peuvent constituer une
cause de morbidité et de mortalité foetales et néonatales. Dès que la grossesse est détectée, il faut interrompre le traitement. Dans de rares cas, où il n'y a pas de solution de rechange à un traitement par un inhibiteur de l'ECA, les mères doivent être informées des risques possibles pour le foetus.

Allaitement
TRITAZIDE ne devrait pas être administré aux mères qui allaitent.

EFFETS INDÉSIRABLES

• Observés au cours des essais cliniques :
Céphalées,
Étourdissements,
Bronchite,
Névralgie,
Infection,
Infection des voies respiratoires
supérieures,
Asthénie,
Toux accrue,
Dorsalgie

• Anomalies dans les résultats hématologiques et biologiques :
- Hydrochlorothiazide :  Épreuves de la fonction rénale : élévations des taux sériques d'acide urique.
- Cholestérol :  Augmentation de la cholestérolémie et de la triglycéridémie.
- Glucose: diminution de la tolérance au glucose.
• Signalés après la commercialisation
- Appareil cardiovasculaire : tachycardie, palpitations, troubles orthostatiques, hypotension, asthénie, angine de poitrine, aryhtmie cardiaque, syncope, infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral ischémique et oedème périphérique.
- Système nerveux central : céphalées, troubles de l'équilibre, faiblesse et sensations de tête légère, étourdissements, acouphènes, paresthésie, nervosité, humeur dépressive, tremblements, agitation, confusion, sensation d'anxiété, impuissance érectile transitoire, transpiration et somnolence.
- Peau : Réactions cutanées ou muqueuses (éruptions, prurit ou l'urticaire), éruption maculopapulaire, érythème multiforme, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique, alopécie ou photosensibilité, pemphigus, exacerbation du psoriasis, exanthème et énanthème psoriasiforme ou pemphigoïde, ou onycholyse.
- Système endocrinien et métabolisme : diminution des taux sériques de sodium, hypochlorémie, hypomagnésémie, hypercalcémie, apparition ou aggravation d'une alcalose métabolique, augmentation du taux sérique de potassium et diminution du taux de potassium.
- Signes généraux de perturbation de l'équilibre électrolytique : céphalées, somnolence, confusion et crampes musculaires.
Augmentation ce l'excrétion des liquides.
- Appareil digestif : vascularite, nausées, élévations des taux d'enzymes hépatiques et/ou de bilirubine, ictère cholestatique, sécheresse de la bouche, glossite, réactions inflammatoires de la bouche et du tube digestif, malaises abdominaux, douleurs gastriques, troubles digestifs, altérations de l'odorat et du goût, constipation, diarrhée, vomissements, élévations des taux des enzymes pancréatiques, pancréatite. lésions hépatiques.
- Appareil génito-urinaire : élévation des taux d'urée et de créatinine sériques et altération de la fonction rénale pouvant évoluer vers une insuffisance rénale aiguë, aggravation d'une néphrite interstitielle et d'une protéinurie préexistante, baisse de la libido et impuissance érectile transitoire.
- Système sanguin : les réactions hématologiques aux inhibiteurs de l'ECA sont plus probables chez les insuffisants rénaux et chez les personnes qui ont une maladie du collagène concomitante, ou encore, chez les patients traités par d'autres médicaments pouvant modifier le profil sanguin. Anémie hémolytique, diminution de la numération leucocytaire ou plaquettaire, agranulocytose, pancytopénie et dépression de la moelle osseuse.
- Système immunitaire :
Des réactions anaphylactiques à l'hydrochlorothiazide sont possibles.
Le risque et la gravité des réactions anaphylaacï'des au venin d'insectes sont augmentés en présence d'une inhibition de l'ECA.
- Appareil locomoteur : Myalgie, arthralgie et crampes musculaires.
- Appareil respiratoire : Toux sèche, congestion nasale, sinusite, bronchite, bronchospasme et dyspnée.
- Organes des sens : Troubles visuels et troubles de l'audition.

SURDOSAGE

Le surdosage peut causer une diurèse persistante, une vasodilatation périphérique excessive (accompagnée d'une hypotension marquée, de déséquilibres électrolytiques, d'arythmies cardiaques, d'une altération de la conscience pouvant mener jusqu'au coma et aux convulsions cérébrales.

Traitement:
On doit instaurer un traitement de soutien symptomatique.
On peut envisager une détoxification primaire par l'administration d'adsorbants.
En présence d'une hypotension, outre les mesures de remplissage vasculaire, on doit considérer l'administration d'agonistes a1-adrénergiques.
La dialyse a peu d'effet sur l'élimination des diurétiques thiazidiques.

PHARMACODYNAMIE

TRITAZIDE exerce des effets antihypertensifs et diurétiques. L'abaissement tensionnel produit par I association des 2 composants est plus puissant que celui produit par l'un ou l'autre administré en monothérapie.
• Ramipril :
Entraîne une diminution marquée de la résistance vasculaire périphérique.
Chez des patients souffrant d'hypertension artérielle entraîne une baisse de la tension artérielle, à la fois dans les positions couchée et debout, sans accélération compensatoire de la fréquence cardiaque.

PHARMACOCINETIQUE

Ramipril :

L'effet antihypertensif se manifeste entre 1 à 2h après l'administration d'une dose unique par voie orale et il est maximal au bout de 3 à 6h, Cet effet persiste habituellement 24h.
Hydrochlorothiazide :

L'excrétion hydro-électrolytique commence environ 2 heures après l'administration du médicament pour atteindre son effet maximal entre 3 et 6 heures.
Les effets durent de 6 à 12 heures.
Les effets antihypertensifs se manifestent après plusieurs jours et l'effet thérapeutique optimal est atteint après 2 à 4 semaines.

Voir aussi: